Montez la haut en haut au sommet de la cime

C’est ce que nous dirait Marcel pour aller à l’autre bout de la parcelle. Et surtout de ne pas oublier les pointes. Alors cette fin de semaine, j’ai effectué l’ascension du Mont Gosford. Les passionné frénétique de ce blog se souviendront certainement que j'y suis déjà allé, tandis que les personnes plus détachées, ou plus rationnels, nouvelles ou de passage à l’improviste ici ne s'en souviendront pas ou même s’en moqueront totalement. Une chose est certaine cependant, le paysage entre les mois de février et juin est totalement différent ! Je vous laisse donc contempler une fois de plus les paysages que j’ai côtoyé lors de la randonnée. Au cours du trajet, on peut remarquer la végétation étagée, c’est à dire adaptée en fonction de l’altitude, la forêt de feuillus, la forêt mixte puis les conifères. Au sommet, vous contempler avec moi des arbres, des arbres, et les Appalaches du Maine. Et le Maine… ça fait peur. Je précise ici que je n’ai point croisé d’ours dans l’unique but de ne pas donner de soucis à ma maman. J’ai seulement rencontré un renard qui a traversé le chemin pour s’enfoncer dans les sous bois sans demander son reste…

Ma tête en bas du Mont Gosford Ma tête au milieu du Mont Gosford

Ma tête au sommet du Mont Gosford

Aussi pour parler de la vie quotidienne à Sherbrooke… Elle suit son cours, beaucoup de travail au labo. Il y a trois nouvelles étudiantes qui sont arrivées au département de microbio pour démarrer le doctorat, une tunisienne et deux françaises, ce qui fait donc trois filles ! Il y a eu pas mal de sorties ces derniers temps, boire des bières québecoises, aller à des concerts... Il y avait La Rue Kétanou à Sherbrooke !!
Ha aussi, la maman marmotte et ces petites marmottes proviennent du Mont Orford, c'était samedi. C'est une très bonne occasion pour fêter sa maman !
Voilà donc pour les nouvelles. Sans transition, je terminerai ce post tel qu’il a commencé. Cagette !