Et bien voilà une première semaine de travail de passé. Je tente de mettre en place quelques élucubrations scientifiques pas trop farfelues et je discute avec les autres étudiants québécois. Je dois également arriver à m’empêcher à dire bonjour en arrivant le matin. Ici il vaut en effet mieux s’exclamer allo ou bon matin, parce que bonjour c’est pour dire au revoir ou bonne journée et si l’on n’y prend garde, il devient facile d’entrer dans une conversation de l’absurde. Les thésards et post-docs du labo sont sympas mais un peu sous pression je crois. En effet ne cherche surtout pas à oser sortir du labo avant 21 ou 22 h ou tu seras traité de fainéant. Le chef est plutôt du genre exigeant et la réunion scientifique entre 12 et 13h autour d’une pizza m’est un peu resté sur l’estomac. Il ne faut surtout pas perdre de temps pour les manips et surtout publier les résultats avant les équipes concurrentes ! Au secour, je veux retourner avec vous à Brest !
Hier soir, nous sommes tout de même aller manger au restaurant entre jeunes du labo et ensuite dans une boîte branchée, pour décompresser un peu. Oui vous pouvez nous reconnaître sur la photo. Aujourd’hui j’ai aussi revu Elise qui m’avait hébergé lors de l’expérience de couchsurfing puisqu’elle habite à au moins 200 mètres de chez moi !
Hier soir, nous sommes tout de même aller manger au restaurant entre jeunes du labo et ensuite dans une boîte branchée, pour décompresser un peu. Oui vous pouvez nous reconnaître sur la photo. Aujourd’hui j’ai aussi revu Elise qui m’avait hébergé lors de l’expérience de couchsurfing puisqu’elle habite à au moins 200 mètres de chez moi !
Commentaires
Gros bisous à notre chercheur préféré, Isa et sa tribu.
Je viens de faire un petit voyage sur ton blog et c'est plutot sympa... Un peu plus a l'ouest comme disait ce bon vieux Tournesol...
Bon, je vois que tu t'adapte bien et que la grande ville semble te plaire. Ici en Ecosse, nous sommes dans le process d'acheter une maison mais tout n'est pas encore fait... Hopefully...
Je ne te fais pas de gros becs mais le coeur y est.
A bientot
Christophe