Ces derniers temps, j’ai manqué de temps, tel le lapin blanc de Lewis Caroll. Et pourtant, j’ai plein de chose à raconter, des idées à développer. Et puis il y a eu les événements… Et la recherche du sens. Et puis il y a eu cet instant miraculeux. Et puis la vie qui reprend sa place.
Mais auparavant, nous avions fêté dignement le passage de la nouvelle année, accompagné d’une pizza, ce qui, en Chine, est déjà l’exotisme. En attendant le nouvel an chinois, le mois prochain.
Il y a une belle chanson de Mano, que vous pouvez écouter ici, et dont voici un extrait.
Tout ces châteaux d'efforts aux ponts de vies,
tout ces murmures d'armures faisant voler les murs.
Toutes ces forces en faces à faces,
tout ces fous qui font des grimaces.
Tu t'en fous, tu laisses ta place.
Tu t'en fous, tu laisses ta place.
Ta seule richesse est ton sentiment qui te pousse vers l'avant.
Rentre dedans, rentre dedans, rentre dedans, rentre dedans, pour dent...
Rien n'est à toi.
C'est juste l'histoire du monde,
rien n'est à toi.
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