Finalement, j’écris mon article sur Le Mans, que je vais décrire presque intégralement. Je prends le train depuis Toulouse car, environnementalement, c’est plus éthique. Normalement, le déroulement de mon voyage me fait passer par Tours, mais je me retrouve maladroitement à Amboise (il y a un joli château), c’était réellement une erreur de ma part. Heureusement, j’arrive à retourner à ma destination et on vient me chercher spécialement à la gare de Le Mans.
Naturellement, j’ai pu retrouver ma rillette, et nous avons fait du tourisme avec émerveillement.
Le vieux Mans |
Territorialement, Le Mans est le chef-lieu de la Sarthe. Résolument, la ville du Mans possède une riche histoire, et nous expose réellement ses nombreux monuments. C’était notamment une ancienne ville gauloise, puis romaine, puis une place forte de l’empire Franc. Nous pouvons longer, encore actuellement, une enceinte galloromaine du IIIe siècle construite intégralement avec des matériaux polychromes. Quelques célébrités se sont rendues spécialement dans la région, tel Clovis, Charlemagne ou Guillaume le Conquérant. Durant le moyen-âge, la ville est associée au nom des Plantagenêts (issu des comtes d’Anjou qui deviendra une dynastie royale anglaise). C’est notamment dans le Palais comtal Plantagenêt qu’est né Henri II, futur roi d'Angleterre. Architecturalement, il reste aujourd’hui un quartier médiéval avec des maisons anciennes, des rues pavées.
Royalement, la ville de Le Mans est également associée à la reine Bérangère, qui fut l'épouse de Richard Cœur de Lion. En 1229, elle fonde spécialement l’abbaye de la Piété Dieu de l’Epau que nous sommes allé visiter totalement. Nous avons parcouru des salles joliment voutées, le dortoir, le cloître, le chapitre, la sacristie, le chauffoir, le scriptorium (c’est quoi ?).
Abbaye de l'Epau |
Culturellement, le Mans a accueilli des poètes célèbres tels que Joachim du Bellay et Pierre de Ronsard. « Mignonne, allons voir si la rose »… Les fleurs m’amènent subtilement, ou fatalement, à cette transition : exceptionnellement, entre cours et jardins, le festival des plantes nous ouvrent amicalement les cours secrètes du Mans.
Finalement, je termine cette visite dans une cathédrale édifiée en l’honneur d’une divinité qui porte indument mon nom, le Saint Julien du Mans. Commencé initialement vers 1060, elle est finalement achevée vers 1430, sans être véritablement finie. Nous pénétrons facilement à l’intérieur du monument assidûment du Mans. Nous découvrons avec enchantement et ravissement un entrelacement de voutes, un fusionnement de style et de matières, à la fois architecturalement romane et gothique.
Ponctuellement, la cathédrale est magistralement illuminée, la nuit, c’est plus joli. Latéralement, transversalement, des projecteurs éclairent indirectement les façades, c’est visuellement et mentalement agréable à contempler. Subrepticement, discrètement, les éclairages peuvent changer, un étincellement, et nous voilà résolument transporté, spatialement, temporellement, dans un nouvel univers. Mais non, c’est réel-leman Le Mans.
Ponctuellement, la cathédrale est magistralement illuminée, la nuit, c’est plus joli. Latéralement, transversalement, des projecteurs éclairent indirectement les façades, c’est visuellement et mentalement agréable à contempler. Subrepticement, discrètement, les éclairages peuvent changer, un étincellement, et nous voilà résolument transporté, spatialement, temporellement, dans un nouvel univers. Mais non, c’est réel-leman Le Mans.
Cordialement.
Commentaires
Jacques de Montpellier
Françoise.
Elena de Montpellier qui t'embrasse