Canadian Rockies : la montagne, ça vous gagne

Me voici donc les Montagnes Rocheuses. Depuis le dernier message, j’ai fait pas mal de choses et je n’ai pas assez de temps aujourd’hui pour tout raconter. Après la monotonie et la platitude des plaines, j’observais enfin les montagnes toute proches, qui apparaissent subitement telle une barrière. Je vais enfin pouvoir m’élever ! Aussi, j’ai commencé par le sud avec le parc national des Lac-Waterton. Plus loin, c’était les parcs nationaux de Banff, de Yoyo et de Jasper. Tous ces parcs concentrent de magnifiques paysages. La Icefield Parkway, la route qui traverse le parc, permet d'avoir accès à de nombreux points de vues, mais aussi de s'arrêter à différents sites pour faire une randonnée d'une heure, d'une journée ou de plusieurs jours selon l'envie ou le courage de chacun. Aussi, c’est là où j’ai rencontré Sandra, mais c’est une toute autre histoire !! J’ai aussi rencontré de nombreux wapitis, ours noirs, des cerfs mulets, des mouflons et autres bestioles sur pattes, mais malheureusement (ou heureusement) aucun grizzly ni couguar. Nous avons pratiqué plusieurs randonnées, dormi dans des auberges rustiques, c'est-à-dire sans électricité ni eau courante !! Nous avons rencontré des gens gentils, des voyageurs au long cours qui font le tour du monde. Les montagnes, les lacs sont grandioses (Peyot Lake, Bow Lake, Lake Louise, Lac Morraine, medicine Lake, Maligne Lake), couleur bleu turquoise à émeraude et c’est promis, il n’y a aucun effet photoshop ! Enfin, c’est trop bien !!
Il y a plein de photos, hihi !! Elles sont toutes là.

Commentaires

côté sud a dit…
Quelle chance tu as de découvrir des espaces aussi grandioses. Nous aurions bien envie d'avoir une petite place dans ton coffre pour t'accompagner dans tes aventures !!!
Pour l'instant nous sommes sous le mistral de Provence, et nous lui avons demandé de bien vouloir souffler jusqu'à toi plein de gros bisous made in France. bye bye
La tribu du sud
Lecteur Hypoothétique a dit…
Trop fort Julien...

Et pour reprendre la phrase de Fernando Pessoa, un peu plus loin dans le livre "Ne fixe pas la route... suis la, jusqu'au bout ."