Bienvenue dans la sérénité de la cour du printemps, au kiosque de l’ombre verte, et donnons nous rendez-vous au pavillon où se figent les nuages empourprés. Près de la pagode de la douceur infinie, offrons nous le plaisir d’observer le reflet des lanternes dans le lac de rêve. Une symphonie de lumière en dissonance avec la sombreur de la nuit. Le Yin sourit au Yang. Du contraste et de la complémentarité naît l'harmonie.
Je pars demain en Gaspésie, la Nouvelle Bretagne. Si je ne donne plus de nouvelles, c’est que je tenterai d’échapper à un ours en surfant sur le dos d’un béluga... A bientôt.
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